Un chef-d'œuvre sensoriel entre cirque, danse, musique et poésie brute. Un cri de joie face à la fureur du monde. À spectacle à vivre, pas à raconter !
Acrobates, danseuses, danseurs, musiciens, musiciennes ? Bien sûr, et parmi les meilleurs. Mais au Baro d’evel, seul "cirque" célébré par le festival d’Avignon, on est d’abord poète de la vie.
Au sommet de son art, une troupe peut créer sans s’enfermer dans un théâtre, en se jetant à corps perdus dans des aventures simples ou plus périlleuses : faire les vendanges, passer une nuit blanche à faire cuire de la céramique, apprivoiser le vaudou au Bénin, improviser en clowns pour des enfants exilés au Liban. Qui som ? est né comme ça, en s’engageant dans des voyages incertains, à la découverte de pays réels comme intérieurs, en se laissant déborder par l’appel de la vie. Cela ne se raconte pas. Cela s’éprouve. Dans la couleur. Dans l’argile. Dans le plastique. Entre les rebuts et l’éternité. Il en surgit un spectacle bouleversant, où passe la fureur du monde, la nécessité de le remodeler, de maintenir la joie, le désir et tout ce qui, en nous, chante encore et malgré tout.
Attention, chef-d’œuvre !
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𝗠𝗮𝗿. 𝟰 𝗻𝗼𝘃. 𝟮𝟬𝗵𝟯𝟬, 𝗺𝗲𝗿. 𝟱 𝗻𝗼𝘃. 𝟮𝟬𝗵𝟯𝟬, 𝗷𝗲𝘂. 𝟲 𝗻𝗼𝘃. 𝟭𝟵𝗵
Tarifs de 5€ à 30€, 18€ avec la Carte
Durée 1h35